«Sixth graders at Cloonan Middle School here are assigned numbers based on their previous year’s standardized test scores — zeros indicate the highest performers, ones the middle, twos the lowest — that determine their academic classes for the next three years.
But this longstanding system for tracking children by academic ability for more effective teaching evolved into an uncomfortable caste system in which students were largely segregated by race and socioeconomic background, both inside and outside classrooms. Black and Hispanic students, for example, make up 46 percent of this year’s sixth grade, but are 78 percent of the twos and 7 percent of the zeros.» Quelle excellente analogie du New York Times
L'expérience me rappelle celle d'un grand pédagogue en Outaouais, M. Louis Gagnon, qui a reçu le Prix du Premier Ministre en 1994 (déjà !) pour avoir combiné dans une seule classe les élèves en difficulté et les élèves du «régulier» et en équipe avec une autre enseignante, adopté la pédagogie par projet pour l'année.
dimanche 21 juin 2009
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3 commentaires:
Pygmalion se retournerait dans sa tombe!!!
Très intéressant... (tristement intéressant)...
J'imagine une école où les profs, plutôt que d'accepter de se faire imposer des groupes dans des classes fermées -- selon des règles soi-disant négociées mais le plus souvent décrétées d'en haut --, s'entendent localement pour faire un véritable travail d'équipe ayant pour seul objectif : la réussite de chaque élève pris individuellement dans un environnement d'apprentissage multiforme créé et aménagé collectivement à cette fin...
Jean, je suis entièrement d'accord. Mais encore faudrait-il que la compétence et les savoirs-pouvoirs locaux soient légitimés par l'État et que les enseignants soient reconnus comme professionnels capables d'innovation, plutôt des techniciens uniquement capables d'appliquer.
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